Michel Porret, Chêne-Bourg, Georg éd., 2019, 325p.
Le 1er mai 1885, dans un faubourg de Genève, Jeanne Lombardi égorge ses quatre enfants puis les recouvre de lilas blancs, avant de tenter de mettre fin à ses jours. L’année suivante, au cours d’un procès fortement médiatisé, elle est condamnée à être placée dans un asile d’aliénés, d’où elle sort en 1894. L’auteur livre une étude sur les ressorts sociaux, judiciaires et médico-légaux de l’affaire.